Tabagisme

  • Ma thèse est que, contrairement à la croyance populaire, le tabagisme est aussi un symptôme psychologique, similaire  à la boulimie
  • Cette page montrera les mécanismes impliqués..
  • Si vous êtes prêt à travailler sur vous-même, vous pouvez être guéri.
  • Parfois, le changement est très rapide, mais vous avez généralement besoin de 6 à 9 mois si vous fumez beaucoup.
  • Le traitement n'est pas si cher. Mes honoraires sont de 100€ par session, dont 30€ vous seront remboursés par la Sécurité Sociale française, plus si vous avez une bonne mutuelle (assurance).
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Le Tabagisme

Pour nous, le tabagisme a un mécanisme similaire à l'origine que celui de la boulimie. La différence est que la substance en cause est pharmacologiquement active et rajoute ainsi une autre complication. La nicotine apporte un apaisement et une relaxation chimique propre et directe. La nourriture soulage par un effet " chimique " mais indirect. La nourriture soulage en agissant sur les récepteurs d'étirement de l'estomac et la sécrétion secondaire (après le grand repas) de nombreux hormones et neurotransmetteurs qui sont responsables de la sensation de satiété. La nicotine, tout comme le thé et le café, agit directement sur certains centres liés au plaisir et la relaxation dans le cerveau. Mais la force et l'effet biologique de la nicotine nous fait oublier que le besoin de la cigarette est déclenché par une cause psychologique antérieur, tout comme dans la boulimie.

L’envie de la nicotine et la psychologie.

Le besoin de manger d'une personne boulimique est tout aussi impérieux que le besoin d'une cigarette d'un fumeur. Ce simple fait est bon de retenir car nous admettons facilement le rôle de la psychologie dans la boulimie mais dans le tabagisme nous blâmons l'effet chimique de la nicotine. Nous sommes aveuglés par son action chimique. Pourtant les deux conditions sont très proches. Ainsi, le rôle de la nicotine dans la dépendance d'un fumeur n'est pas simplement chimique. Ici aussi, il y a une douleur psychologique initiale, qui déclenche l'envie de la cigarette, jusqu'au moment que le sujet craque. " Je m'en fous ! J'ai besoin d'une cigarette ! ".

Une preuve : l'envie de fumer va et vient selon l'état psychologique du sujet, et non pas le taux de nicotine dans le sang. Peu de gens fument leur première cigarette tôt le matin, lorsque le niveau de nicotine est au plus bas. Ce n'est pas le manque de nicotine qui produit l'envie de fumer mais un manque psychologique. Une fois mis sous un certain stress, quand le sujet doit produire les mots pour faire face au monde qui l'entoure, il tombe en panne, cède, doit avoir sa cigarette, espère de l'aide de la cigarette pour son incomplétude psychologique. Donc, chronologiquement, l'envie chimique est déclenchée par une voie psychologique initiale, et ensuite l'envie devient écrasante. Après ce point, le système nerveux est stimulé et le désir ne peut être soulagé que par l'effet chimique de la nicotine.

En médecine, il existe de nombreux exemples similaires, des causes psychologiques qui déclenchent des effets somatiques: migraines, l'eczéma, l'asthme, le syndrome du côlon irritable, troubles menstruels et sexuelles ... Dans toutes ces conditions somatiques il y a souvent une cause déclencheuse psychologique. C'est pour cela qu'on les appels des conditions psychosomatiques. C'est notre hypothèse de travail que le désir très physique pour le tabac ou la nicotine est déclenché par un processus psychologique. Exactement comme dans les autres conditions psychosomatiques mentionnées ci-dessus, et comme dans notre amie, la boulimie. Ainsi notre thèse est que si nous guérissons la cause psychologique nous guérirons le besoin de la nicotine. Tous les cas d'arrêts de fumer nous le démontrent.

Une dEpendance psychologique, pas une dependance physique.

Ainsi, cette faiblesse psychologique qui déclenche l'envie de la nicotine doit être conquise par elle-même. Et quand c'est le cas, ceux qui arrêtent de fumer ne ressentent pas beaucoup d'effets secondaires de sevrage de la nicotine. Environ 5% des fumeurs arrêtent de fumer nette chaque année avec succès, et 85 à 90% de ces sujets déclarent n'avoir aucun manque de nicotine après un ou deux jours. Après un ou deux jour, ils n'ont pas besoin de la nicotine, ils n'ont pas de manque. L'effet secondaire de sevrage le plus marquant est une petite constipation. Donc, ce n'est pas seulement la dépendance chimique à la nicotine qui est à l'origine de la dépendance au tabac, mais principalement un phénomène psychologique initial, qui lui est présent presque constamment.

Comme dans la boulimie, il y a une incomplétude interne, une insatisfaction intérieure qui crée le besoin de la cigarette. Et si le fumeur peut fermer ce déficit psychologique autrement, il n'a pas besoin de la nicotine, il ne sent pas l'envie. Il a réussi à faire un changement psychologique à l'intérieur de lui-même qui le libère de cette dépendance.

Vous pouvez arrêter de fumer en 2023!

Chaque année, environ 5% des fumeurs arrêtent de fumer spontanément. La plupart le font après plusieurs tentatives. Ils réussissent parce qu'ils ont progressivement fait un travail sur eux-mêmes, ils ont changé de l'intérieur, d'une position psychologique dépendante et " demandeur ", pour se diriger vers une nouvelle position, plus autosuffisante. Et le fait que le changement est souvent subite, implique qu'il a y un commutateur dans le logiciel psychologique, qui change le positionnement du sujet. Nous dirons ci-dessous notre explication de cela.

Pas des médicaments, la volonté ou le coaching, mais un travail psychologique.

Ce qui est sûr, c'est que pour arrêter de fumer, la personne doit faire un changement à l'intérieur d'elle-même et si elle est prête à faire ce travail, elle sera en mesure d'arrêter – sans la volonté et sans crever d'envie de la nicotine. Si elle ne le fait pas, elle sera comme les 95% de fumeurs qui craquent, qui ne parviennent pas à renoncer à l'habitude. La psychothérapie augmente considérablement le taux de réussite. Parce qu'elle traite la cause de l'habitude: l'incomplétude psychologique. Si la cause psychologique n'est pas guérie, elle va continuer à déclencher l'envie et le fumeur va recommencer tôt ou tard. Tout comme le besoin de nourriture dans la boulimie. Et une fois déclenché l'envie est irrésistible et ne peut être satisfaite que par la nicotine.

La nostalgie pour la sucette à la bouche contre l'angoisse de séparation.

À la base de ces deux phénomènes de la boulimie et le tabagisme, il y quelque chose que nous pouvons tous comprendre. À l'âge de 4 à 5 ans, après une longue période d'attachement à la mère, l'enfant abandonne lentement sa sucette, arrête de sucer son pouce et peut dormir sans son doudou. Lentement, il devient de plus en plus indépendant de la présence de sa mère. A partir de cet âge, il développe la capacité de générer les mots nécessaires pour pouvoir faire face à sa propre petite vie et à la solitude. Mais ce logiciel est fragile et lorsque l'enfant est dans une situation difficile, par exemple s'il est perdu, ou blessé ou effrayé, il commence à pleurer, demande sa mère et revendique encore sa sucette dans sa bouche, pour calmer le corps tremblant. Selon nous, cette nostalgie pour quelque chose dans la bouche dans des moments d'angoisses, qui rappelle la sucette et la présence de la mère, est en jeu dans ces addictions orales de la boulimie et le tabagisme. L'angoisse de l'absence, d'abord de la mère et ensuite toute autre angoisse de séparation, peut provoquer en nous ce réflexe très primitif de vouloir quelque chose dans la bouche pour nous soulager.

Le mécanisme psychologique en jeu dans le tabagisme.

Plus tard, si un enfant est brusquement séparé, sans explication adéquate, des autres attaches importantes: autres parents, maison, école, objets, amis, animaux, elles laissent aussi une trace, une blessure, un trou dans le psychisme. Nous portons tous en nous de nombreuses perturbations de ce genre. Si ce n'est pas bien compris et réparé un incident comme cela laisse le sujet en manque de mots autour de certains sujets, avec une tension, une angoisse dans sa voix et sa poitrine. Ces blessures sont au même endroit dans notre logiciel psychologique que la première séparation de sa mère. Et pour cela elles ont aussi un rapport avec la bouche et le sucer.

Le léger soulagement enivrant fourni par la nicotine.

Donc, si notre logiciel psychologique est endommagé de cette façon par d'autres séparations, ou il est surchargé, avec beaucoup de choses à faire à la fois (stress), nous pouvons continuer nos tâches, mais la machine rame, se ralenti. Nous nous trouvons dans un certain inconfort, avec une anxiété de fond. Et nous sommes à l'affût de l'aide, (tout comme le petit garçon ou fille perdu, sans maman). Dans cet état, la nostalgie pour quelque chose dans la bouche resurgie. Et nous cherchons nourriture, thé, café, cigarette... pour nous combler.

La légère intoxication de la nicotine offre un soulagement bienvenu. Comme un demi vers de vin, l'effet chimique de la nicotine libère la tension psychologique accumulée, libère un peu les mots, permet le sujet de se détendre, soulage pendant quelques minutes la douleur accumulée. Et pour le sujet (l'enfant anxieux en lui) cette relaxation rappelle la présence apaisante de la mère. En outre, l'acte d'aspirer sur une cigarette pour recevoir son contenu rappelle l'allaitement du lait maternel et la sucette calmante.

Les sujets douloureux inconscients qui mènent le sujet à sa cigarette doivent être déchiffrés.

Donc, dans l'acte de fumer, tout comme dans la boulimie, il y a un soulagement par un certain retour à la "mère". La douleur psychologique du fumeur, son angoisse, produit chez lui une connexion bébête à la mère, un besoin du confort de sa présence. Et tout comme un enfant sans sa tétine qui commence à être énervé, devient malheureux, le fumeur, lorsqu'il est poussé, stressé, a besoin de son doudou, sa sucette, sa cigarette, sa "mère". C'est une image, une façon de parler d'un phénomène plus complexe. Mais nous parlons de quelque chose de très concret, que chacun peut vérifier chez lui: la mémoire de l'amour de sa mère est hautement réconfortante. La nicotine apporte bien sur un effet chimique de relaxation, avec la sécrétion de nombreux neurotransmetteurs comme les endorphines, l'opioïdes et les cannabinoïdes. Mais ce phénomène chimique suit un besoin psychologique. Le vrai problème reste le ou les besoins psychologiques qui mènent le fumeur à sa cigarette. Ces causes doivent être déchiffrées, résolus, dispersés, pour arrêter de fumer.

Il y a certaines pensées, incidents, mémoires inconscientes, qui sont à l'origine de l'envie de la cigarette.

Donc, derrière l'envie de fumer, il y a certains incidents, pensées, sujets qui ont entamé le logiciel inconscient psychologique du sujet. Cela produit une petite angoisse quasi-constante chez lui. Il n'est jamais complètement calme. Le plus souvent ces incidents ou accidents sont liés (comme dans la boulimie) à sa relation avec sa mère. La séparation est plus ou moins bien passée. Il peut y avoir des demandes inassouvies, des malentendus, des blessures. Mais cela peut aussi être des choses qui sont passées avec d'autres personnes (père, grand-mère, frère, sœur), ou des endroits (déménagement, écoles) ou des épisodes douloureux dans la vie du sujet (pertes d'amis, d'amants, d'objets, des croyances, de l'argent...). La difficulté provient du fait que les marques de ces blessures sont la plupart du temps inconscientes, pas disponibles pour le sujet. Elles sont enfuies en lui, en lui laissant seulement un trou, sans mots, ce besoin aveugle de fumer. Le sujet conscient ne sait pas pourquoi il fume. Et il est impuissant pour le vaincre car les causes, et même cette explication, ne lui sont pas disponibles.

La méthode d'Allen Carr pour arrêter de fumer. Une critique.

Allen Carr était un fumeur de cent cigarettes par jour et un jour, à l'âge de 48 ans, son fils lui a dit d'arrêter de fumer, que ce n'était pas si difficile d'arrêter. Après cette conversation, il arrêta de fumer d'un moment à l'autre: pas de volonté, pas d'envie, pas d'effets secondaires à proprement parler. Il a été tellement surpris par sa propre expérience qu'il a fait campagne toute sa vie pour aider les autres à cesser de fumer à travers les livres et les cliniques portant son nom. Il pensait que le secret de sa guérison était le conseil rationnel de son fils: ce n'est pas si difficile d'arrêter.

Son livre (La Methode Simple Pour En Finir Avec la Cigarette) est plutôt répétitif mais son conseil se résume à prendre la décision d'arrêter, que ce n'est pas si difficile si vous avez une attitude positive et réalisez que vous ne perdez rien d'autre qu'une mauvaise habitude. Et pour beaucoup de gens son livre et sa méthode semblent fonctionner.

Notre lecture de sa méthode et de cette expérience est que cela prouve les 3 points importants suivants:
1. Lorsque vous êtes psychologiquement prêt à arrêter, il est facile d'arrêter.
2. Il n'y a aucune envie, aucune frustration et les effets secondaires physiques sont doux et de courte durée.
3. Pour ceux qui ne sont pas prêts, l'auto-conviction ne fonctionne pas.

Allen Carr n'aborde pas comment être psychologiquement prêt à s'arrêter. Sa méthode se résume à vous convaincre rationnellement que fumer est une chose horrible ... quelque chose que nous connaissons tous cent fois. Ce n'est certainement pas un manque de connaissance de la nocivité du tabac qui empêche la plupart des fumeurs de s'arrêter. Il y a sûrement quelque chose de plus profond à l'intérieur de chaque fumeur qui l'empêche de s'arrêter. Et ceux qui arrêtent font un changement psychologique en eux-mêmes.

En particulier, il semble ne pas avoir compris la vraie raison de sa propre guérison. Son fils lui a dit d'arrêter de fumer et que ce n'était pas si difficile d'arrêter. Cette conversation le guérit et il pensait que c'était la rationalité du conseil qui le guérissait.

Ma lecture de cette rencontre est que ce n'est pas le conseil rationnel de son fils qui a fait l'affaire. C'était plutôt le contenu émotionnel des remarques, qui pourrait être mis de cette façon: «Papa, tu n'as pas besoin de fumer. Arrête de mendier quelque chose de ces stupides cigarettes. Viens loin de là. Ce n'est pas si dur. Parle-moi. Je suis ici".

Dans notre vocabulaire, les paroles et l'affection de son fils, à l'endroit exact psychologique, l'ont aidé à se détacher d'une position interne, demandant, suppliant, d'un attachement infantile à la «mère». Cela lui permettait de venir au présent, à son fils qui l'attendait avec des mots intelligents. Un commutateur a été appuyé et il n'avait plus besoin de demander quoi que ce soit de ces 100 cigarettes par jour. Il avait un fils à qui parler.

Une psychothérapie psychanalytique fonctionne un peu dans ce sens

Cannabis, thé, café, chewing gum, chocolat.

Dans les addictions à ces substances les mêmes mécanismes sont en jeu. Bien évidemment, leur consommation est une question de dégrée, du normal, contrôlé et raisonnable, jusqu'au irraisonnable et incontrôlé. (Les facteurs qui permettent le sujet de pouvoir résister la tentation d'ingérer sans limite ces substances sont le deuxième volet du phénomène de l’addiction.)

Avec le cannabis, l'écoulement immédiat des mots produit par la drogue donne un soulagement immédiat à la douleur psychologique du sujet. Ainsi, c'est une drogue intoxicante, tout comme l'alcool. Avec le cannabis vous échappez toutes les angoisses et exigences de la vie externe et interne, tous les soucis internes et externes. C'est facile de se perdre dedans et vouloir y rester. Pour se guérir d'une vraie addiction il faut faire une vraie psychothérapie, pour alléger la douleur psychologique que le sujet essaye d'échapper avec le délire produit par la drogue.

Le thé et le café sont des boissons légèrement stimulantes, moins fortes que la nicotine. L'addiction à ces substances fonctionne comme pour la nicotine et la boulimie. Comme avec la nicotine, le sujet cherche une petite stimulation contre la lenteur mentale. Comme dans la boulimie, le sujet boit tasse après tasse, sans jamais être rassasié. Le tout en arrière plan d'une insatisfaction innommable à la bouche (pensez sucette, pensez pertes non réparées).

Derrière la mastication incessante du chewing gum sont quelques mots, quelques phrases, qui cherchent à s’exprimer.

L'addiction au chocolat et d'autres douceurs est un peu différente des autres substances, car le chocolat est dénoué d'une action pharmacologique directe ou indirecte. Son attraction est son gout délicieux. C'est une addiction proche à la boulimie. La demande est de recevoir des choses délicieuses : beaucoup, beaucoup de chocolat – de très, très délicieux chocolat. Il est facile de voir ici le besoin d'affection de la mère, tout comme un enfant qui demande des bons bons. C'est assez vite guérissable.

La psychothérapie change l'équilibre des éléments dans la personalité du sujet.

Comme nous avons dit, les facteurs qui permettent le sujet de pouvoir résister la tentation de ces substances sont le deuxième volet de cette histoire. Certains facteurs (rôle du père vis-à-vis l'attachement à la mère, des autres personnes qui remplacent la mère, la croyance, une amitié profonde, la discipline,....) permettent le sujet d'éviter ou réparer les blessures qui le poussent vers la consommation. Ces facteurs et le travail de psychothérapie lui permettent de fermer le trou à la bouche, terminer les conversations inachevées avec la mère ou d'autres personnes, réparer les blessures des autres séparations avec des personnes ou lieux importants, .... Par ce travail, la psychothérapie change l'équilibre des éléments dans la personnalité du sujet et lui permet de combler le ou les trous à l'origine du besoin de la cigarette. Quelques fois ce processus est très subite, et le sujet arrête nette de fumer. Cela indique qu'il a y un commutateur dans le logiciel, qui bouge le positionnement intérieure du sujet (l'explication est complexe mais grossièrement, il y a un basculement intérieur du sujet - de l'attachement silencieux et bébête à maman vers les conversations avec papa. Retirer la sucette de la bouche et parler avec son nom, en quelque sorte).

Le tabagisme et la cure par l’écriture. Vous pouvez travailler de chez vous.

Pour vraiment faire un changement psychologique, ce qui est nécessaire est un changement dans le logiciel psychologique. L’exhortation, des conseils, de la volonté, des médicaments, les patches, les cigarettes électroniques ne changent rien dans la structure psychologique du sujet. Ce changement psychologique ne peut être fait que par un thérapeute compétent qui sait où aller et ce qu'il faut changer : quelques pages, voire quelques phrases, ici et là, dites ou manquantes, dans histoire concrète de votre vie.

Avec ma cure par l’écriture, je peux vous aider à arrêter de fumer, si vous êtes prêt à faire un travail sur vous-même pendant quelques mois. J’ai eu quelques cas de guérisons très rapides. Juste le fait de démarrer ce travail peut rapidement guérir l'habitude. Souvenez-vous du commutateur que nous avons rencontré ! La dépendance au cannabis, thé, café, chewing gum et chocolat sont aussi traitables par ma méthode.

Vous n’avez pas besoin de suivre un long traitement de psychothérapie dans mon bureau. Après quelques séances, le reste peut être fait à distance, par email par ma cure par l’écriture, avec des consultations ponctuellement, dans mon bureau ou par conférence vidéo.

Venez me parler si vous trouvez mes idées convaincantes et vous voulez arrêter de fumer ou d'utiliser les autres substances mentionnées.

Si vous avez cessé de fumer, par quelque méthode que ce soit, ou vous avez eu une expérience intéressante qui rappelle mes idées, je serais ravi de vous lire:

  • Cabinet du docteur, Paris 13ème
  • Consultations à distance, par téléphone, e-mail ou vidéo.
  • Prise en charge par certaines mutuelles.